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48 FEMMES VIOLEES PAR HEURE

48 FEMMES VIOLEES PAR HEURE

 

suite a l' appelle de monsieur Zacharie chéré compatriote nous faisons une appelle au boycotte de ce journaliste essence comme Zacharie Qui ause dire de bêtise contre le combattant qui ont pour but dune cause juste pour la libération de notre pays le congo r.d.c a qui soufre jour et nuit un vendu comme ce monsieur Zacharie comme azo loba bilobela comme rex kazadi avais bien dit que ce monsieur vas nous narque et donc tout le combattant ya poto to telema lisusu po comme mua kimia ekomi ko kota likolo ya stade de france to zongela idéologi ya ebandeli ya combat na biso pour 160 femmes sont violées chaque semaine en République Démocratique du Congo, victimes du conflit qui dure depuis plus de dix ans.Selon l’ONU, plus de 200 000 femmes ont été victimes de violences sexuelles en RDC depuis 1998, sans que leurs agresseurs aient été punis. En 2009 le président Joseph Kabila lançait une campagne de « tolérance zéro » contre les viols commis par l’armée et les rebelles, mais les condamnations restent rares et concernent des subalternes. Mais en février dernier, l’espoir renaît suite à la condamnation du lieutenant colonel Daniel Kibibi Mutware, de l’armée congolaise : « le 1er janvier 2011, des militaires sous l’autorité du lieutenant Mutware ont violé 60 femmes et jeunes filles à Fizi dans le Sud Kivu, raconte un enquêteur de Human Rights Watch, et se sont rendu coupables de tortures et de crimes contre l’humanité. Le 21 février le lieutenant a été condamné à 20 ans de prison par la justice locale, et ses soldats ont également écopé de peines allant de 10 à 20 ans de réclusion. » Une victoire qui laisse la plupart des experts encore sceptiques, « La dernière fois qu’un haut-gradé a été condamné en RDC, il a fui au bout de trois jours… », observe Jean-Marie Fardeau. Ambassadrice de l’UNESCO et marraine de l’exposition, Rama Yade veut intensifier la lutte contre l’impunité : « il faut faire entendre la voix de la dénonciation, partout où cela est possible, aider les associations de la société civile qui, sur place ou dans d’autres pays, œuvrent à la défense des femmes, épuiser toutes les procédures juridictionnelles pour faire condamner les coupables, et recourir à la Cour pénale internationale lorsque la machine judiciaire interne ne fonctionne pas. » En attendant les combattant congolaises s’organisent en associations pour faire entendre leur cause. Les rendent aussi hommage à 48 FEMMES VIOLEES PAR HEURE